Rails et chemin de fer belge

Dans cet article nous allons visiter :

Les cheminots et les archives et nous rencontrons mon arrière-grand-père Émile NICOLAS. (1877-1946) et son parcours professionnel.

Vous pouvez suivre la vidéo ici:

Depuis toujours, j’ai connu cette photo trônant dans la maison familiale. Cette superbe moustache était façonnée tous les matins et ma mère me décrivait la façon dont son grand-père prenait une tout petite portion de cire pour la lisser et la rendre plus ferme. Il avait un malin plaisir à quémander un bisou aux petits qui ne savait pas sur quelle joue lui donner. Devenue complètement blanche avec le temps, il la gardera toute sa vie.

La photo représente Émile, le 1 mai devant sa locomotive car il était conducteur de train, ce jour-là la machine était honorée, chérie et fleurie. Quelle est la date de prise de la photo, je ne sais pas trop, je dirais entre 1911 et 1925. ! Cet article devrait nous permettre de la retrouver et peut-être de vous aider à retrouver le parcours d’un homme du rail.
Cette autre photo de lui, en 1930 fêtant son oncle Jean Robert DULLIEU, le centenaire de Mellier, le montre avec la même moustache toute blanche. à drotie sur la photo.

Ce jour-là, c’est la fête de Travail devenue journée internationale des travailleurs. Elle trouve son origine dans le combat pour la journée de huit heures, elle est reconnue dès 1886 aux USA. Le 20 juillet 1889, la 2ème Internationale Socialiste à Paris décide de faire du 1er mai une journée de revendications ouvrières.  La Belgique suit le mouvement le 1 mai 1891, comme d’autres pays et le premier mai devient un jour férié national et chômé. S’il tombe un dimanche, il est remplacé par un autre jour.

J’aimerais savoir si je vais trouver quelques renseignements supplémentaires sur Emile NICOLAS mon arrière-grand-père. Sa photographie prise aux environs de 1911 dans le Luxembourg, est sujet de fierté familiale, on le voit lui-même fier de sa locomotive.

Ce que je connais du parcours d’Émile ?

Son carnet de milicien est un document conservé dans les archives familiales. Il contient beaucoup d’informations et permet de retracer son parcours de milicien.

Émile est né le 09 novembre 1877 à Mellier, Luxembourg

Il fait son service militaire du 14 avril 1897 au 4 juin 1901, date à laquelle il obtient son dernier cartouche de congé qualifié d’illimité. Un cartouche de congé du 20 juillet 1900, lui accordait un congé illimité, sauf rappel cependant ce congé a été annulé. A la date du 4 juin 1901, il est déposé à la station de chemin de fer de Mellier, son lieu de résidence. Son service aura duré 50 mois, soit plus de 4 ans avec deux congés annulés sans explications écrites.

Dans ce carnet se trouve toute une série de pages, permettant aux bourgmestres de poser un visa pour les changements de résidence et cela pendant quelques années après le service militaire, au cas, ou en cas de mobilisation, il devrait être retrouvé. Car il est précisé « En cas de mobilisation, il se rendra immédiatement, sans autre avis, par la voie la plus rapide et la plus directe au dépôt ou fort où sont déposés ses armes et effets. » 

Son carnet comporte au total 16 visas, d’entrée et de sorties et c’est ainsi que nous pouvons le suivre. Il avait des congés, sans soldes et visiblement cherchait du travail.

Mellier, son village natal. Son premier visa d’entrée date du 17 octobre 1899 « vu pour arrivée à Mellier » soit 2 ans après avoir quitté sa famille. Il a 22 ans.

Le deuxième visa d’entrée date du 3 janvier 1900 « vu pour arrivée à Oettingen » en allemand.

Ce lieu me pose un problème, Oettingen est en Allemagne, en Bavière – Souabe. Je trouve cela tellement étrange, bien entendu plausible mais il n’y avair rien de son passé qui puisse la relier à cette ville., de plus aurait-il eu le droit de s’éloigner de son lieu de rattachement militaire sans que ce soit justifié. Il doit y avoir une explication qui m’échappe.

En réalité, il y a un autre lieu Ottingen ou Ottange commune de la Moselle à la frontière Luxembourgeoise, qui me paraît plus plausible.

Ottingen, cette ville était-elle allemande à ce moment là, je ne suis pas assez experte en la matière ? Il est indiqué qu’il est mineur sur son carnet. Nous savons qu’en attendant son service militaire il a travaillé comme mineur dans les mines de minette, autour de Mellier, cette fameuse roche ferrugineuse qui fit la fortune des forges luxembourgeoise. En 1900, les exploitations avaient changé de lieux et Ottingen se trouve sur le site des Hauts-fourneaux les plus anciens. Les maîtres de forges n’hésitaient pas à employer de la main d’œuvre qualifiée de leur réseaux sidérurgique.

Le troisième visa d’entrée date du 22 juillet 1900 à Mellier, il est donc resté 6 mois à Oettingen. Le quatrième visa d’entrée date du 5 juin 1901 à Mellier

Il un 5ème visa, de sortie le 7 septembre 1902, il quitte Mellier pour Mont sur Marchienne. Le 6ème visa d’entrée est bien le 9 septembre 1902 à Mont sur Marchienne (Hainaut), il y a une adresse. Le 7ème visa de départ le 12 juin 1903, indique qu’il quitte la commune le 12 juin 1903. Il y sera donc resté 9 mois.

Mont-sur-Marchienne était une ville de sidérurgique et de charbonnages jusqu’en 1878 et fût remplacée par la Clouterie du Globe. Il semblerait qu’Émile ait cherché du travail selon ses compétences.

Le 7ème visa le retrouve à Mellier le 7 juillet 1903, le 8ème visa de départ le 8 octobre 1906 il quitte Mellier pour Jemelle (Namur). Le 9ème visa d’entrée est le 15 octobre 1906 à Jemelle.

Jemelle possède une gare ferroviaire sur la ligne du Luxembourg, Namur – Sterpenich (Lux), elle est aussi une gare de jonction. En 1900, de grands travaux sont entrepris pour remanier les dépôts et les ateliers de réparations ainsi que de nouvelles lignes de voies à quais.

Est-ce là qu’il eut un premier contact avec le chemin de fer, en dehors de son titre de voyageur ? Car ensuite, le 10ème visa de départ est le 17 novembre 1906 il doit se rendre à On (Luxembourg). Le 11ème visa d’arrivée est le 22 novembre 1906 à On (Luxembourg). Il y retournera bien plus tard avec son épouse et c’est là qu’est née ma grand-mère.

On, village de Marche-en-Famenne, Luxembourg, B. Il y avait une gare. La légende familiale dit qu’il fût un des premiers à inaugurer les machines à vapeur sur la ligne Jemelle – Luxembourg. Il existe un site au GD où l’on peut refaire une partie du parcours dans ces locomotives crachant des escarbilles qui avec la vitesse rentre par les fenêtres sans vitres. Le site s’appelle Fond-de-Gras

Jemelle, Le 12ème visa de départ d’On est le 19 février 1907, il doit se rendre à nouveau à Jemelle. Le 13ème visa d’arrivée à Jemelle est le 22 février 1907, il y restera 2 mois car le 14ème visa de départ de Jemelle, le 22 avril 1907 indique qu’il se rend à Saint-Mard.

Saint-Mard, le 15ème visa d’arrivée à Saint-Mard (Luxembourg), est le 5 avril 1907, il partira de là très vite pour aller quelques kilomètres plus loin.

Virton, le 16ème visa de départ de Saint-Mard pour Virton (Luxembourg) juste à côté est le 26 septembre 1907, 5 mois après son arrivée. Ensuite, il vit et reste à Virton. La longue liste de ces visas se termine en 1907.

A cette époque Émile était devenu machiniste aux chemins de fer Belge depuis longtemps. Une des pistes que j’aimerais explorer c’est Jemelle, cela pourrait ressembler à une formation.

1910 : Émile se marie avec Victoire Roblain, mon arrière-grand-mère provenant du village de Léglise (Luxembourg) juste à côté de Mellier, le 10 août 1910.

1911 à On, Lux – naît leur premier enfant, Lucie ma grand-mère le 18 octobre 1911 son père est machiniste, Ils vécurent à On un certain temps, ils ont eu un logement. (Source :acte de Naissance de Lucie)

Saint-Mard ensuite : Ses deux autres filles naîtront en 1914 et 1915 à Saint-Mard où il était à nouveau domicilié et de profession machiniste. Ce n’est que plus tard qu’ils reviendront à Virton. (Source : acte de naissance de ces 2 autres filles)

Qu’avons-nous comme archives à explorer concernant le chemin de fer belge – SNCB ?

La Belgique à disposé très vite d’un réseau ferroviaire très dense et très étendu à partir de 1835. La première locomotive surnommé « Le Belge » est fabriquée par les usines Cockerill qui deviennent très rapidement des grands producteurs de locomotives, wagons, rails, et appareils ferroviaires, aussi réputés à l’étranger. La nationalisation des diverses compagnies passées se fera en 1912 et la création de la SNCB en 1826, Société Nationale des Chemins de fers belges.

Le premier dépôt d’archives intéressant est sur le site des Archives de lÉtat en Belgique . Encore une fois, rien n’est numérisé à l’heure actuelle, il faut donc se rendre en salle de lecture. Vous avez accès à l’inventaire en ligne, qui vous permet d’emblée voir si les renseignements dont vous avez besoin pour vos recherches s’y trouveraient.

Le fonds permet de se plonger dans au cœur de l’histoire de la Société nationale des Chemins de fer belges durant les périodes troublées de la guerre et de l’immédiat après-guerre.

Je cite « Le fonds est divisé en deux parties.

La première concerne la gestion des rémunérations pendant la Seconde Guerre mondiale. L’administration des ressources humaines de la SNCB, …incontestablement un des plus importants employeurs du pays, a toujours été particulièrement ardue. C’est d’autant plus vrai durant la Seconde Guerre mondiale. La société … est confrontée à des situations inédites : le départ de nombreux hommes sous le drapeaux, le travail obligatoire, l’engagement volontaire de certains pour travailler dans les Chemins de fer allemands ou l’entrée d’autres dans les rangs de la Résistance. Cette gestion de crise va engendrer des difficultés, notamment en ce qui concerne le paiement des salaires et des indemnités dus aux prisonniers politiques, aux réfractaires au travail obligatoire, aux résistants, épouses et ayants droits d’agents absents ou décédés suite aux circonstances, ainsi qu’aux membres du personnel se trouvant en Grande-Bretagne.

La seconde partie concerne plus de 5.500 dossiers produits par les Commissions d’enquête en charge de l’épuration administrative menée à l’encontre des cheminots soupçonnés d’incivisme. »

L’inventaire est en ligne sur cette même page du arch.be, il s’agit de la productrice d’inventaire JACQUEMIN Madeleine, Inventaire des archives de la Société nationale des Chemins de fer belges (SNCB) : Service du Personnel : Dossiers concernant la Deuxième Guerre mondiale (Gestion des rémunérations et épuration administrative) (1929-1989). Vous avez la possibilité, de la consulter en ligne ou de la télécharger pour une future utilisation de recherche. Le dossier est bilingue Fr-nl.

J’ai la certitude qu’Émile était machiniste le 18 octobre 1911, c’est inscrit sur l’acte de naissance de sa première fille Lucie, il avait 33 ans. Je sais qu’il a continué à travailler au chemin de fer ensuite, peut-être ai-je une possibilité de trouver des indices après 1929, il aurait eu 52 ans. Les hommes ne prenaient pas leur retraite à 60 ans en ce temps-là.

Allons voir ce fonds et essayons de trouver n’importe quelle année après 1929. Il n’y a que 479 pages, une broutille ! Le fonds est dense et présente des dossiers classé par dates et ensuite classés par ordre alphabétique. C’est à éplucher, si l’on cherche vraiment des renseignements approfondis. Je laisse cette recherche pour plus tard et vous laisse l’adresse ci dessous.

Inventaire des archives du Ministère des Communications. Administration des Transports. Chemins de fer, 1835-1966 à visiter

Une autre ressource est :

Le forum du train.

En 2019, Il annonce sur son site :

« La SNCB ouvre ses collections historiques au public

Grâce à un énorme travail d’inventorisation et de numérisation, l’ensemble des collections du patrimoine historique de la SNCB est désormais accessible sur le site internet de Train World, le musée de la SNCB, trainworld.be. Depuis cette semaine, 12.000 fiches musées et 71.000 références documentaires y sont consultables gratuitement. Elles seront régulièrement complétées grâce à l’aide permanente d’une vingtaine de volontaires passionnés 😉 » 2019

Et nous renvoie donc vers une autre ressource :

trainworld.be

Il faut aller sur l’onglet collection pour voir le contenu. A vrai dire, je découvre le site et ne sais pas très bien à quoi m’attendre. J’écris dans musée, Nicolas Émile et le site me renvoi vers une photo prise dans la gare de Bascoup. « L’ensemble du personnel de la gare Bascoup pose sur le quai de la gare. La première rangée est même dans les rails. En arrière-plan, nous voyons l’auvent du bâtiment de la gare, avec le nom de la gare au-dessus. Au centre de la photo, un garçon tient une pancarte en bois qui indique : « Retraite Longue Et Heureuse A Nos Vétérans Bascoup Station 21-7-46 ».

A dos de cette photo, quelqu’un a eu l’excellente idée d’inventorié toutes les personnes présentes et leur poste. Le 21 juillet est le jour de la fête nationale et Bascoup est dans le Hainaut, le moteur de recherche c’est concentré sur Nicolas.

Émile est décédé, 18 jours avant soit le 3 juillet de cette même année, à Dampicourt, Luxembourg, qu’allait-il faire là , encore une question sans réponse.

Je vais changer de mode de recherche et taper Luxembourg, puisque c’est la ligne qu’il suivait. J’obtiens plusieurs portraits de locomotives.

  • Peinture d’une locomotive à vapeur verte avec annexe de type 10 (2C1 Pacific). Ces locomotives ont été conçues pour les Chemins de fer belges par la société Flamme. À partir de 1910, 58 exemplaires furent construits par différents constructeurs belges. Ils étaient utilisés pour remorquer des trains de voyageurs à grande vitesse sur la ligne vallonnée de Bruxelles à Luxembourg.
  • Un papier est collé au-dessus de la locomotive avec ‘1910 Loco Pacific Type 10 Poids.165tn.weight Vitesse.120km.speed Puissance.2700hp.power’..
  • Il y a une fiche technique en PDF, qui m’en apprend beaucoup plus sur cet engin. La reine de la ligne du Luxembourg ! Est-ce celle-là qu’il conduisait ? Il va falloir que j’écrive aux spécialistes et passionnés des chemins de fer. Visiblement pas, car celle devant laquelle il pose à une grosse cheminée, ce que n’on pas les suivantes.
  • J’y apprends aussi que Jemelle était un dépôt.
  • Peinture d’une locomotive à vapeur verte avec annexe de type 1 (2C1 Pacific). Entre 1935 et 1938, 35 locomotives de ce type furent construites par le Consortium belge de constructeurs de locomotives. Ils étaient utilisés par la SNCB pour les trains de voyageurs sur les lignes de Bruxelles à Ostende, Liège, Luxembourg, Mons et Tournai et atteignaient 140 km/h. Les locomotives ont été mises hors service en 1962.
  • Un papier est collé au-dessus de la locomotive avec ‘1935 Loco Super Pacific Type 1 Poids.209tn.weight Vitesse.140km.speed Puissance.3400hp.power’.

Ni l’une, ni l’autre ne ressemblent à celle de la photo.

Cette fois, je vais essayer avec :  1 mai Luxembourg Stoomlocomotief, je l’écris en néerlandais car le moteur de recherche semble privilégier cette langue.  moteur de recherche de la base de données historiques

J’ai 85 résultats dont celui d’une carte postale ancienne, d’une locomotive qui ressemble vraiment à celle qu’il a conduite.

Nous nous rapprochons sérieusement ! Le modèle d’une maquette et avec celle-là Émile revient au pays, elles servaient les gares d’Arlon et Virton.

Modèle réduit d’une locomotive à vapeur avec annexe du type 90 (E Ten Coupler). Ces locomotives sont d’origine allemande (type G 10) et servaient à tirer des trains de marchandises lourds. Ils furent construits par Henschel et Hanomag à partir de 1910. Après la Première Guerre mondiale, l’Allemagne dut remettre 45 unités du type G 10 à la Belgique. 32 unités ont été immatriculées auprès des Chemins de fer belges sous le type 90, les locomotives restantes ont été vendues au Luxembourg (Compagnie Prince Henri). A l’origine, ces 32 locomotives servaient dans les cantons belges de l’Est, Arlon et Virton, mais à partir de 1924 elles furent transférées de Virton à Anvers. Là, ils étaient principalement utilisés pour le trafic portuaire.

La locomotive 90.017 a été construite en 1910 par Henschel. La locomotive était immatriculée aux Chemins de fer belges sous le numéro 9017. Entre novembre 1940 et novembre 1944, la locomotive était de nouveau aux mains des Allemands. En 1946, la locomotive fut immatriculée à la SNCB sous le numéro 90.017. En 1952, la locomotive fut mise hors service.

Le numéro d’identification de la locomotive verte et du tender avec des accents rouges et noirs se trouve sur les côtés et, dans le cas de la locomotive, également sur le devant. Les côtés de la cabine du conducteur portent l’inscription « FNDM ». Il s’agit du code télégraphique d’Anvers-Dam, le dépôt des locomotives. Le modèle est réalisé à l’échelle H0 1/87.

Une autre sur la même ligne

Modèle réduit d’une locomotive à vapeur avec annexe du type 90 (E Ten Coupler). Ces locomotives sont d’origine allemande (type G 10) et servaient à tirer des trains de marchandises lourds. Ils furent construits par Henschel et Hanomag à partir de 1910. Après la Première Guerre mondiale, l’Allemagne dut remettre 45 unités du type G 10 à la Belgique. 32 unités ont été immatriculées auprès des Chemins de fer belges sous le type 90, les locomotives restantes ont été vendues au Luxembourg (Compagnie Prince Henri). A l’origine, ces 32 locomotives servaient dans les cantons belges de l’Est, Arlon et Virton, mais à partir de 1924 elles furent transférées de Virton à Anvers. Là, ils étaient principalement utilisés pour le trafic portuaire.

La locomotive 9089 a été construite en 1910 par Hanomag. La locomotive était immatriculée aux Chemins de fer belges sous le numéro 9089. Entre décembre 1940 et avril 1944, la locomotive était de nouveau aux mains des Allemands. En 1946, la locomotive fut immatriculée à la SNCB sous le numéro 90.039. Elle a été retirée du service en 1953.

Le numéro d’identification de la locomotive verte et du tender se trouve sur les côtés et, dans le cas de la locomotive, également sur le devant. Les côtés de la cabine du conducteur portent l’inscription « FNDM ». Il s’agit du code télégraphique d’Anvers-Dam, le dépôt des locomotives. Le modèle est réalisé à l’échelle H0 1/87.

Ensuite, je prendrais mon temps pour chercher et aussi pour contacter trainworld.be pour voir comment je pourrais obtenir d’autres informations.

Voici pour vous quelques nouvelles pistes de recherches, si vous en connaissez d’autres n’hésitez pas à m’écrire un petit mot.

Chaque recherche amène de nouvelles questions et je reviens avec de nouveaux éléments collectés petit à petit, c’est comme cela que j’aime retrouver la vie de nos anciens, et vous ?

Nous nous retrouvons demain pour la lettre S comme Sans laisser d’adresse


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2 commentaires

  1. Merci pour ces ressources intéressantes. J’ai aussi quelques branches de cheminots dont un arrière-grand-père conducteur de train près de Nivelles. Je ne sais pas quelle ligne il faisait. Peut-être Charleroi-Bruxelles…

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